LOUANGE
La pluie tombe, la Lune ne brille pas
Cest le Darkness, et tu nes pas là ma déesse
Je méveille
Dès que la Lune sera blanche,
Un ange viendra te donner un baiser sur le front
Il repartira ensuite vers les cieux
Ce sera le souffle de mon âme
Louange
LA LAISSER SEULE
Triste sort que de la laisser seule
Idylle de ma vie que mont donnée les cieux
Enfantée dune triste rupture éteinte
Dialecte indéniable du reste de la Terre
Elle est ma déesse, irréversible saturation
Mon esprit gît pendant son suave sommeil
Colibri, moi la fleur, tes cris sont somnolant
Endormie à côté de moi, je vois tes yeux fermés
Mes caresses ne te réveillent mêle pas
Son délicat de ton souffle à mes oreilles
Merveilles
Il est des Dieux qui veillent sur elle
Mille merveilles
Je vois encore ces trains, ces voies, ces rails
Tous my emmènent, aucun ne me la rend
Triste sort que de la laisser seule
Phobie indestructible, je laime
Son parfum, son sourire. Je saigne
Esprit divin trouve-moi ma route
Qui mène sur « cette » route où senvolent les doutes
Elle sera longue, mais la quête fructueuse
Graal de mon esprit, transition acquise
Compétition active de ma vie sans sursit
Groseille, délices aux mille goûts de miel
Je la vois peu mais lEden apparaît
La nuit tombe, et elle me manque
Triste sort que de la laisser seule
JE PLEURS
Idylle, fanion de liberté pseudo-acquise
Myrtille, gagnons la sincérité de tes lèvres exquises
Turbulente autoroute pleurant mes pleurs
Je pleurs
Grise mine, paroles ignorées de la Terre
Fatal exutoire de mes pensées, stratosphère
Lune, gravit lolympe ! Ouvre-moi ton cur
Je meurs
Mille nuits me séparent de mon soleil enfoui
Guerres et paix menlacent, Ô mon doux fruit
Absurdité au dessus de ces douces clameurs
Je pleurs
Tes yeux, tourbillons insolents, iris et volupté
Dramaturge visage, de ton sang, or et argent mêlés
Pendant que tes billes pleurent, moi je me meurs
Je meurs