SI SEULELMENT LA LUNE
Si la Lune mavait demandé, je taurais répondu
Si mes doigts avaient du écrire, ce serait « toi »
Les gens vivent pour être, moi je mourrais pour tes ailes
Les anges insolents méloignent de ton doux visage
Mon glaive dégainé, je vaincrais mille dragons
Mes rêves se concrétisent sur cette feuille, duvet blanc
Si seulement la Lune
Si elle me lavait dit
Tes sens sont les miens, suaves et doux, sucrés
Tes bras menivrent plus que les alcools mélangés
Hydromel de mes pensées, cocaïne de mon cervelet
Tes bras menserrent et me donnent cette tendresse
Je vaincs les monstres grâce à toi ma princesse
Si seulement la Lune
Si seulement la Lune
Si elle me lavait dit
Mon âme erre dans les nuages de ton paradis
La pluie acide me brûle le cur. Je saigne
La grâce des Dieux illumine mon esprit
Les démons sont déçus de la force de ton âme
Mes yeux silluminent en définissant ton corps sublime
Mais si seulement la Lune
SI SEULUMENT LA LUNE 2
Je me suis demandé pourquoi « toi et moi »
Les nuages ont parlé avec la Lune, quel émoi !
Elle, toi, mais moi
Séjour de bonheur que je vis
Inaltérable sensation que de savoir que la Lune luit
Si seulement la Lune
Si elle me lavait dit
Tes gestes, tes regards, tout est parfum de la rose
Et pour toi ma douce, en ces quelques proses
Je désigne de mon index létoile qui te correspond
Imaginant ton parfum qui sent célestement bon
Si seulement la Lune
Si elle me lavait dit
Mes mains sont la soie et vêtissent ton corps
Les glaciers fondent à la chaleur de ton regard
Je suis un poisson dont les ouies mapportent les violons
Le Stradivarius de tes nuages pleure tes chants
Si seulement la Lune
Si elle me lavait dit
Je veux ton corps comme le soleil veut son ciel
Tes nuages paradisiaques illuminent mes champs
Grâces de mes Dieux seront un jour enfin accomplies
Pour toujours et à jamais. Non je rigole, pour toi
Si seulement la Lune
Mais un jour, elle ma menti
MEMERE
Les ceps rétrécissent dans la fumée des branches
Mon coeur saigne dêtre loin de mon amour
Un arbre sourit au ciel en forme de champignon
Les caténaires ne sont plus, ce sont des troncs
Voitures après voitures, le paysage défile morne
Je me rends à Nevers me recueillir sur une tombe
Cette stèle est celle de Claudette, ma grand-mère
Elle était belle et grâce aux cieux, elle le restera
Puérile tentation que de ne pouvoir la serrer
Belle des champs, jalousie des Dieux
Au sein de leur entreprise, elle peut bien les narguer
Elle, la plus belle des anges, a son millénaire de gloire
« Perfection » serait le mot
La bourgogne, sa patrie définitive
Atout jamais jaimerai Nevers et La Guerche
A tout jamais jaimerai « toi », ma mèmère